13 % des retraités européens travaillent encore

9 décembre 2024 18:37

Selon les données d’Eurostat de 2023, la plupart des personnes n’ont plus travaillé (22,4 %) ou ont cessé de travailler (64,7 %) dans l’UE dans les six mois suivant la perception de leur première pension de vieillesse. Mais 13 % des retraités européens ont continué à travailler.

La proportion la plus élevée de retraités européens ayant continué à travailler a été enregistrée dans les États baltes : Estonie (54,9%), Lettonie (44,2%) et Lituanie (43,7%), et la plus faible en Roumanie (1,7%), en Grèce (4,2%) et en Espagne (4,9%).

Les principales raisons pour lesquelles les personnes ont continué à travailler après avoir perçu une pension de vieillesse sont le plaisir de travailler et d’être productif (36,3 % des personnes) ou la nécessité financière (28,6 %).

Raisons pour les retraités européens de continuer à travailler

Le désir de maintenir l’intégration sociale (11,2%) et l’attrait financier de l’emploi (9,1%) ont également été cités comme raisons de continuer à travailler. Une plus petite proportion, 3,5 %, a continué à travailler parce que leur partenaire était encore employé.

Le Danemark (61,0 %), les Pays-Bas (59,6 %) et l’Italie (51,7 %) affichent les proportions les plus élevées de personnes qui continuent à travailler parce qu’elles aiment leur travail. En revanche, les plus faibles proportions de personnes ayant invoqué cette raison se trouvaient en Espagne (17,9 %), à Chypre (19,1 %) et en Slovaquie (20,4 %).

D’autre part, la nécessité financière était la principale raison de continuer à travailler à Chypre (68,6%), en Roumanie (54,3%) et en Bulgarie (53,6%), tandis que la Suède (9,4%), la République tchèque (12,4%) et le Luxembourg (14,4%) enregistraient les proportions les plus faibles.

Principales raisons
IR

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