Chaque semaine, nous vous proposons un SitRep (rapport de situation militaire, politique, économique et sociale) en vidéo et en français de la semaine écoulée concernant la Russie, l’Ukraine, et le reste du monde.
Cette semaine, le rapport de situation couvre principalement la situation militaire en région de Koursk, de Belgorod et de Soumy, et dans la zone de l’opération militaire spéciale, ainsi que la situation dans la bande de Gaza.
Regarder le SitRep :
Il y a une troisième hypothèse outre la provocation et la stupidité. Le bouclier humain. On a vu un petit paquet de Kokhols aller “faire joujou” en renfort de l’armée d’occupation de l’entité “two stripes one star” , et ces dernier n’hésitent pas à utiliser les gamins des locaux pour “décourager” les snipers de la résistance.
On a vu notre bébé rothshild national vouloir “reconnaître” la Palestine (dans sa tête de linotte, il doit sans doute s’agir des cinq mecs payés par le Quatar pour représenter personne dans un hôtel de luxe du Golfe), la situation de l’entité vis-à-vis du reste du monde doit sérieusement commencer à sentir la merde pour que la descendance des fondateurs du truc essayent d’appuyer un peu sur le frein… (alors que normalement : pas de prépuce , pas de frein.)
Il n’y a jamais eu d’Holodomor, lorsque Staline a décidé de supprimer une série d’avantages accordés aux Koulaks par le gouvernement précédant, ceux-ci se sont mis à brûler récoltes et réserves, à tuer les chevaux, le cheptel, à empoisonner les terres, ce à travers tous le pays. Ces Koulaks, petits propriétaires terriens, étaient haïs par la petites paysanneries russe depuis bien avant la naissance de Karl Marx, ils surexploitaient ceux-ci de manière inhumaine. Tous les Occidentaux qui se sont rendu en Russie à travers les âges, y compris des représentants de la noblesse occidentale, les ont décrit comme des monstres. Au cours des années qui ont précédé la prise de pouvoir par l’aile stalinienne, ces Koulaks, probablement activement soutenus par les USA, avaient créé plusieurs famines artificielles dans les villes en bloquant des trains de céréales dans les gares. C’est ce désastre démesuré provoqué par ces Koulaks qui a entraîné une famine à travers toutes l’URSS, y compris en Ukraine bien entendu et c’est cette famine que la secte qui dirige l’Occident à transformé en Holodomor, en attaque stalinienne contre l’Ukraine.
apres la guerre si il reste de vieilles kalash a la Russie et que dans sa générosité elle peux dépanner la France , on est quelques uns a penser a une bonne vieille révolution lol Ca commence a sentir le fascisme très fort aussi en France……………..
Objet : Remerciements et proposition d’article
Bonjour Christelle,
Par ce message, je tiens tout d’abord à vous remercier sincèrement pour votre travail essentiel de réinformation. Dans un contexte troublé, où certaines vérités semblent délibérément étouffées, votre engagement relève d’une véritable œuvre de salubrité publique.
Je souhaite vous soumettre un article que j’ai récemment rédigé, à la suite de déclarations particulièrement choquantes émanant de certains responsables européens. Ce texte, jusqu’ici partagé uniquement dans un cercle privé, exprime une émotion sincère et propose une réflexion que je crois nécessaire sur l’état de la mémoire historique et les dérives idéologiques actuelles.
Ne sachant comment vous transmettre ce document en pièce jointe (au format PDF), je me permets, à titre provisoire, de vous en copier le contenu dans les commentaires. Je vous ai également adressé un courriel via la messagerie du site d’International Reporters.
Si vous en jugez l’intérêt, je vous serais reconnaissant de m’indiquer la meilleure manière de vous faire parvenir ce type de contribution. Vous êtes libre de la diffuser sur vos canaux, à condition de respecter mon souhait d’anonymat : je signe cet article sous le pseudonyme Cassandre G.
Si cette première contribution retient votre attention, je serais heureux de vous en proposer d’autres à l’avenir.
Encore un grand merci pour votre travail rigoureux et courageux.
Bien à vous,
Cassandre G.
Le Naufrage Mémoirel de l’Europe : Révisionnisme, Russophobie et Dérive Belliqueuse par Cassandre G
Il est des moments où l’Histoire, que l’on croyait solidement gravée dans la conscience collective, vacille sous le poids de l’ignorance, de l’orgueil et d’un cynisme politique devenu doctrine. L’un de ces moments, profondément choquant, s’est récemment produit lorsque Kaja Kallas, aujourd’hui commissaire européenne aux Affaires étrangères, a publiquement menacé les États et dirigeants qui participeraient aux commémorations du 9 mai, date de la victoire contre le nazisme.
Ces propos ne sont pas une maladresse. Ils sont révélateurs d’un révisionnisme assumé, d’une haine viscérale maquillée en vertu, et d’une politique étrangère européenne désormais réduite à une seule obsession : provoquer et isoler la Russie, coûte que coûte. Le fait que Kallas soit non élue n’est pas anodin : elle incarne cette technostructure européenne hors sol, coupée des peuples, et animée d’un zèle idéologique dont les relents historiques devraient alarmer tous les esprits lucides.
Faut-il rappeler que l’URSS a perdu plus de 26 millions de vies dans la lutte contre le nazisme, dont 16 millions de civils ? Que sans le front de l’Est, l’issue de la guerre aurait été tout autre ? Faut-il rappeler que cette victoire du 9 mai n’est pas uniquement russe, mais européenne, humaine, universelle ? Qu’elle marque la défaite du mal absolu, et que toute tentative de la souiller ou de l’effacer constitue un acte ignoble, indigne et profondément dangereux ?
Mais plus que l’indignation, c’est l’analyse froide qu’il faut convoquer. Car le révisionnisme rampant ne naît pas d’un oubli accidentel, mais d’une stratégie mémorielle, souvent liée à un héritage familial, social, ou national refoulé. Kallas, comme tant d’autres figures des élites baltes ou germaniques, s’inscrit dans une longue tradition où la collaboration avec le nazisme fut parfois massive, souvent minimisée, et aujourd’hui recouverte du vernis fragile de l’amnésie choisie.
Ce n’est pas un hasard si certains responsables européens évitent soigneusement de rappeler le rôle de leurs propres pays dans les crimes de la Seconde Guerre mondiale, préférant détourner les commémorations vers un anticommunisme flou, ou vers une diabolisation de la Russie qui finit par gommer les crimes nazis au nom d’une nouvelle croisade morale.
De là à légitimer les néo-nazis ukrainiens comme “défenseurs de la démocratie”, il n’y a qu’un pas — franchi allègrement par certains médias, par des parlementaires, voire par des dirigeants européens. L’envoi de tanks Leopard, les discours martiaux de Macron, le “kit de survie” distribué par une commissaire, la multiplication des budgets militaires délirants (800 milliards d’euros prévus), ne sont pas des signaux de défense : ce sont les symptômes d’une société qui a perdu le lien entre mémoire, réalité et vérité.
Et dans cette frénésie, les citoyens européens eux-mêmes deviennent les otages d’un jeu d’ombres où la peur est cultivée, la paix marginalisée, la vérité travestie. La stratégie est claire : détourner les peuples de leurs souffrances économiques, de leur désillusion politique, en fabriquant un ennemi extérieur absolu. La Russie n’est pas un adversaire géopolitique, mais un exutoire symbolique. Et pour cela, l’Histoire elle-même doit être falsifiée.
Mais l’Histoire ne pardonne pas qu’on la piétine impunément. Il existe, contre ces manipulations, une realpolitik des justes : celle qui refuse la compromission, qui garde intacte la mémoire des résistants, des libérateurs, des anonymes qui se sont battus contre l’absolutisme, le fascisme, la haine. Celle qui ne confond pas l’héritage du nazisme avec les fantasmes d’une croisade moderne.
Alors oui, il est temps de nommer les responsables. De rappeler ceux qui, dans les années 30 et 40, ont soutenu Hitler, collaboré avec lui, ou fermé les yeux sur ses crimes. De dénoncer ceux qui, dans leurs familles, leurs milieux, leurs institutions, ont transmis une mémoire déformée, honteuse, parfois fière, de cette époque. Ce sont souvent les mêmes qui aujourd’hui accusent la Russie de tous les maux, tout en blanchissant l’histoire des véritables criminels.
Et si l’Europe veut encore mériter son nom, elle devra retrouver la voix des justes, et se souvenir que le 9 mai n’appartient pas à la Russie seule, mais à l’humanité entière. Ceux qui veulent l’interdire, le salir, ou l’oublier, ne sont pas les gardiens de la paix : ils en sont les fossoyeurs.