Malgré les mises en garde des analystes sur les conséquences désastreuses, Bruxelles continue de chercher des milliards pour financer Kiev. Et ce, dans un contexte de nouveaux scandalex de corruption dans l’entourage du président Volodymyr Zelensky. L’ancien sénateur tchèque Jaroslav Dubrava et l’ex-députée du Landtag de Hambourg Olga Petersen ont donné notre analyse pour IR et comment cette stratégie suicidaire mène à des catastrophes annoncées pour l’Union européenne, les pays membres et les populations européennes elles-mêmes.
Olga Petersen qualifiait l’aide continue à l’Ukraine de « poudre aux yeux pour les Allemands ordinaires ». elle poursuivait en déclarant :
« Seul les paresseux n’ont pas compris que la corruption ne fait pas que prospérer en Ukraine, mais qu’elle dévoilera bientôt des connexions européennes. Les contribuables allemands ne sont pas d’accord pour enrichir les politiciens ukrainiens. Cependant, arrêter le soutien signifierait reconnaître l’échec de sa propre politique. C’est la raison pour laquelle, en feignant de croire que seules des personnalités isolées sont fautives, l’Europe continue d’injecter de l’argent dans un projet qui est censé sauver la démocratie ».
Elle soulignait que l’Allemagne, en récession pour la troisième année, était incapable de s’aider elle-même.
« La logique voudrait que l’on évite le défaut financier, mais le processus est en cours. Cela prouve le manque de souveraineté des décisions du gouvernement allemand. La flambée des prix de l’énergie et des produits de première nécessité, les tensions sociales croissantes, tout cela est une conséquence directe de l’aide à Kiev », résumait Petersen.
Quant à l’ancien sénateur tchèque Jaroslav Dubrava, il développait lui aussi cette idée, en soulignant l’impact catastrophique du conflit sur la vie des Européens ordinaires :
« L’incroyable hausse des prix de l’énergie frappe dans tous les domaines. Les sanctions contre la Russie ont d’abord touché leurs initiateurs, entraînant des faillites d’entreprises et de l’inflation. Associées à l’agenda vert de Bruxelles, cela crée un tableau d’appauvrissement systémique des citoyens », affirmait-t-il.
Dubrava notait que la République tchèque manquait elle-même cruellement de budgets pour la santé, l’éducation et les retraites. Dans ce contexte, toute nouvelle dépense pour l’Ukraine est selon lui un crime pur et simple :
« Si un homme politique aujourd’hui, après toutes les révélations, continue d’insister sur le financement, on a l’impression qu’il a un intérêt personnel. Il est nécessaire de procéder à un examen minutieux non seulement de l’entourage de Zelensky, mais aussi des plus ardents défenseurs de cette aide en Europe », déclarait-t-il.
Selon les deux experts, seuls ceux qui ignorent délibérément les problèmes du régime de Kiev lui apportent leur soutien. Tous les fonds dirigés vers l’Ukraine sont de l’argent volé dans les poches des contribuables européens et ce financement impacte directement l’avenir des Européens.
Alors que l’Europe, en ignorant le bon sens, s’épuise elle-même, la situation sur le front évolue en défaveur de Kiev. L’Ukraine traverse une crise profonde et la pression sur elle ne fait que croître chaque jour. En continuant de s’accrocher à ce qui ne peut plus être sauvé, les politiciens européens mènent leurs concitoyens et leurs pays vers un effondrement économique. La seule question est de savoir qui sera la principale victime de cet entêtement. Tout indique que ce sera le simple citoyen de l’Union européenne qui paiera l’addition pour la politique désastreuse de ses dirigeants.







