Et vous n’allez pas aimer ça ! Mais revenons à la genèse de ce merdier infâme dans lequel des générations de pseudo politicards et autres financiers véreux nous ont plongés, car une crise comme celle qui vient ne se construit pas en quelque jours ou quelques années c’est un “build-up” qui prend sa source dans une convergence d’événements géopolitiques, économiques et historiques. Plusieurs mois de recherches ont été nécessaires pour aboutir à ce qui suit. Je passerai sur les détails de la volonté de l’empire anglo-saxon de vouloir détruire l’empire Russe, vous en connaissez tous les détails et ce serait jouer les perroquets et perdre son temps que de revenir dessus. Ceci dit, il est utile de noter la mutation de cette volonté menée par la globaligarchie du WEF et autres Bilderberg pour imposer cette vision du monde émane du “fameux” clan des seigneurs que Paul Antoine Martin décrit si bien. Ce qui inclut, bien sûr, le contrôle de toutes les ressources nécessaires à nos économies ainsi que de la finance (CBDC). Le projet s’est donc bien étoffé à travers le laboratoire à ciel ouvert Européiste.
Ce qui se prépare prend sa source en 2000 lorsque l’Euro a pris 18% de part de marché de la masse monétaire mondiale, ce qui a fort déplu à Oncle Sam, car cela a amputé sa capacité de s’endetter, il a bien fallu trouver des “subterfuges” afin d’endiguer une fuite potentielle dangereuse. C’est ainsi que Christophe de Margerie en a fait les frais en Octobre 2014 dans un “CIAccident” d’avion à Moscou (après le coup d’état de Maïdan), alors qu’il avait signé un accord de commerce de ressources énergétiques en Euro… Je vous ferai grâce de la corruption active des roitelets de Paris à Bruxelles qui participent largement à l’élaboration de toutes les déstabilisations et autres coups d’états de Glucksmann à BHL en passant par les “Attal” (avec ou sans i)… Parce que leurs seuls intérêts résident dans ce qui se passe dans leurs poches. “Un pour tous et tous pourris” disait ce cher Coluche.
Nous assistons aujourd’hui à une convergence de crises : systémique, structurelle, conjoncturelle et temporelle. On l’appellera #2SCT25.
On se rappelle tous de la débâcle de la bulle internet en 2001, des investissements massifs à tout va, sans bien réaliser que des dizaines de sociétés étaient financées sur du vent sans avenir et que peu résisteraient à l’effondrement du World Trade Center en 2001. Cette révolution technologique n’a profité qu’à ceux dont les business modèles étaient solides et avaient un sens au niveau économique. Un seul secteur de l’industrie fût touché, celui des High-Tech, les autres secteurs ont largement bénéficié de ce nouveau vecteur transactionnel, logistique et informationnel.
Alors Grispan comme Bernanke ont eu une idée merveilleuse, donner la possibilité aux américains de réaliser leur rêve grâce au Taux (presque) ZÉRO, et tout le monde aurait sa villa au pays du père Noël sans aucun contrôle de score crédit pour faire tourner la machine économique… On saupoudre le tout du génie de l’ingénierie financière US n’ayant pas de limite pour augmenter les profits demandés par Wall Street, et nous finissons par une crise stratosphérique, celle des fameuses Subprimes ou MBS (Mortgage Backed Security) titrisés afin de couvrir les tranches de prêts pourris (note C- et D) en les mélangeant avec des niveaux supérieurs pour masquer le goût du flétan d’une semaine exposé au soleil.
Crise pendant laquelle le système financier mondial a failli partir aux égouts en tirant la chasse. C’est ainsi que la FED a eu l’obligation d’injecter des liquidités massivement pour garder le système financier mondial à flot (le fameux Quantitative Easing, 34 Mds de dollars par mois pendant 7 ans). Autant dire, de la turbo cocaïne verte à taux zéro. Les conséquences de cette politique monétaire nous amène où nous sommes aujourd’hui, à des niveaux d’endettements incontrôlables et insolvables, autant en Europe qu’aux USA où on bat tous les records. Les crises précédentes étaient “gérables” car le taux d’endettement des US était encore relativement bas (2001 : 6T$ et 2008: 10T$). Aujourd’hui l’endettement du gouvernement Fédéral a été multiplié par 4 avec 38,2 trillions de dollars, dont 1 trillion les 10 derniers mois et 200 Mds de dollars la dernière semaine. Le Quantitative Easing QE(i=1 à 3) a dilué la masse monétaire dollar et généré une inflation fulgurante. Les sociétés cotées sur les marchés financiers en ont profité pour faire du Buy Back massif grâce à de l’emprunt à taux zéro, procédé autorisé par la S.E.C (Security Exchange Commission). Cela leur permet de racheter leurs actions sur le DOW JONES et le NASDAQ afin de “stabiliser” la valeur du stock et d’éviter la spéculation à la baisse (Shorting). Mais en fait c’est bien plus insidieux car c’est un moyen pour les exécutifs de se distribuer des bonus par l’intermédiaire du système “Employees Stock Purchase Plan” (ESPP) ou distribution de stock avec discount (15%).
Et nous voilà donc confronté à une “margin debt” de 1T$ sur la comptabilité des sociétés, une bombe à retardement qui va booster la crise tapie dans l’ombre de 2026.
La bulle IA. Observons les chiffres de plus près, l’index “Buffet” indique que les capitalisations boursières américaines totales représentent 223% du PIB et celles du NASDAQ est 145% au-dessus de la masse M2 du dollar, même en 2001 on avait pas atteint de tels sommets… En creusant plus profondément, on s’aperçoit qu’il n’y a pas que l’intelligence qui soit artificielle, l’Index S&P incluant NVIDIA (le fabricant de GPU spécialisé) intervient à raison de 31.5% et la valorisation de ce groupe de 32 000 personnes est supérieure de 20% au PIB de l’Allemagne avec 5 trillions de dollars. Le phénomène de bulle est amplifié par une économie circulaire, Oracle investi dans OpenAI qui achète ses processeurs chez NVIDIA et NVIDIA investi dans Oracle. On note que les clients de NVIDIA manifestent leur souhait de construire leur propre processeur (X/Grok, Amazon…), un client devenant un compétiteur ? Un chiffre d’affaires en perspective de diminution évidente.
La valeur moyenne du P/E (price per earning) des sociétés cotées est de 42 (39.5 en 2001), certaines vont jusqu’à la folie de 320 à 590 comme Tesla ou Palantir. Et oui, ce sont les seuls qui sont allés sur la lune, cela n’annonce rien de bon… Si on regarde les bénéfices des différentes startups positionnées sur le marché, on se rend compte que très peu ont été établies sur des business modèles solides et n’ont pas ou peu de revenus comparé à leur valorisation. Michael Burry “The Big Short” l’a bien vu et se positionne au shorting sur les stocks IA (1,4 Mds de dollars). L’IA bénéficiera à ceux dont le business modèle existant est prouvé car cela améliorera leur rentabilité au détriment de la masse salariale avec des conséquences sociales et fiscales redoutables. Si 10 à 15% des cols blancs sont amenés à perdre leur job, ce n’est certainement pas des serveurs de data center consommant de l’électricité qui achètent des maisons ou des véhicules et ils ne payent pas de charges sociales. Quid des budgets des États ? Amazon a décidé de licencier 14 000 employés pour investir dans l’IA qui travaillera 24/7, 2 Mds de dollars économisés/an, soit 20 Mds sur une décade, les poids lourds de cette industrie se frottent les mains en pensant au futur revenu en perspective. On pourrait faire face à une pénurie de consommateurs si l’IA venait à prendre le pas… L’humanité pourrait-elle fonctionner sans sa propre présence ? Une question rhétorique métaphysique qui mérite d’être posée.
Il y a bulle, et ce n’est pas celle du pape, amplifiée par le “margin debt”, mais ce n’est que le début de l’histoire, passons aux choses sérieuses.
Et si nous parlions des “ABS”, Asset Backed Security, l’équivalent des “MBS” de 2008. Depuis la crise des Subprimes, la régulation sur les banques est devenue très stricte pour minimiser les risques systémiques, mais lorsqu’on chasse le naturel il revient très souvent par la fenêtre. C’est ainsi que les mécanismes de financement occultes sans contrôle ont migré vers les fonds d’investissements de “private equity”, et ils n’ont pas manqué d’imagination afin de pouvoir bénéficier d’une nouvelle manne financière car, beaucoup n’étant jamais assez, il fallait bien trouver des moyens pour engranger plus de revenus quitte à tuer l’économie mondiale pour le bénéfice d’une minorité. Bienvenue dans le monde du “Shadow Banking” ou banking parallèle, une économie de prêts représentant 41.9 Trillions (2024) sans obligation de publication légale.
C’est ainsi qu’apparaissent les services de BNPL (Buy Now Pay Later) et EWA (Earn Wage Access appelé aussi “On demand pay” ou avance sur salaire) proposés par des sociétés de financements écran. Ceux-ci ne sont pas soumis à la régulation FDIC, et aucun contrôle sur le score de crédit n’est réalisé auprès des emprunteurs,qui vont jusqu’à multiplier les prêts pour acquérir le même bien à la consommation auprès de différents organismes.
Ces prêts subprimes sont ceux accordés à des emprunteurs dont la cote de crédit est inférieure à 620 (risque élevé, taux plus élevés), principalement dans des secteurs de la consommation comme l’automobile, les cartes de crédit et les prêts personnels. Ce système bancaire parallèle amplifie l’accès aux prêts subprimes via des établissements non bancaires. Ainsi l’encours total de la dette des ménages américains liée aux prêts subprimes est estimé entre 1 et 1,5 trillion de dollars au 3ème trimestre 2025, selon les données du rapport sur la dette des ménages de la Réserve fédérale de New York, soit 10 à 15% de la totalité des prêts.
Les défauts de crédits s’envolent ainsi que les “chapitres 7 et 11” (mise en faillite bancaire): Tricolor et First Bands sont les premiers cafards sortis du placard Texan dans le secteur automobile. Avec l’inflation galopante depuis 15 ans, le prix moyen des véhicules aux USA est passé de 25 000 $ à 43 000 $, vecteur de transport nécessaire pour se rendre sur son lieu de travail, c’est devenu un point de contrainte budgétaire pour les acquéreurs s’endettant de manière significative. La première conséquence ne s’est pas faite attendre, Carmax, le plus grand dealer de voitures d’occasion US croule sous les invendus et plonge en bourse de plus de 50%. Au total 1,8 millions de véhicules ont été saisis en 10 mois, du jamais vu.
Les taux pratiqués sont rédhibitoires pour les usagers de ce type de services (et particulièrement lorsqu’ils sont en difficulté), les intérêts sont alléchants et permettent aux fonds gestionnaires d’attirer des investisseurs privés de haut niveau avec une grande capacité financière. Sauf que cette fois-ci, ils seront les dindons de la mauvaise farce subprime ABS, des “bag holders” comme on dit de l’autre côté de l’Atlantique. La norme de la période de ROI (Retour Sur Investissement) dans le “Private Equity” est de 5 à 7 ans, les fonds viennent d’accroître la période de 10 à 12 ans selon les cas car ils ont compris qu’ils se sont exposés à des assets toxiques et veulent faire patienter leur clients finaux, alors qu’ils savent pertinemment que la plupart resteront sur le carreau. Les cafards sortent de partout Zions, Western, CT-AL, VoiceBridge, PrimaLend, la panique gagne et force de grandes banques à fermer leur fonds de Private Equity, c’est le cas de UBS fermant deux de leur fonds O’Connor à Chicago, exposés à la dette de First Brand (+ de 10 Mds de dollars) et les investisseurs primaires demandent à mettre en place la procédure de Rédemption (traduction : “rends moi mon pognon”). J’ai d’ailleurs confronté un de leurs représentants à Genève la semaine dernière en meeting privé, sa tête a changé de couleur.
Alors que l’on voit le cafard-zilla d’un trillion de dollar courir sur le sol du Shadow Banking, un sacré cafard quand même, on ne voit pas encore ceux qui vont sortir de la comptabilité des banques car, oui, les fonds d’investissements ayant titrisé les dettes consommateurs (ABS) de la même manière que les MBS ont été constitués, les banques/assurances se sont exposées et possèdent environ 24% de leurs actifs en MBS/ABS. Ces actifs sont non couverts par des swaps de taux d’intérêt, ce qui les laisse très exposées au risque de duration si une partie des déposants non assurés décide de retirer leurs fonds, à cause de la perte de valeur des actifs (Voir le SVB Bank Run de Mars 2023) causant une crise des liquidités… 2008 2.0 le retour sur le marché des REPO (Ancien Libor).
REPO, vous avez dit repos ? Non ce n’est pas l’heure de faire la sieste, bien au contraire c’est celle de se réveiller dard dard… La politique de Quantity Tightening (QT, ou assèchement des réserves de cash pour calmer l’inflation en rendant le crédit moins accessible) couplé au financement IORB (*) / (***) ON RRP ne semble pas très efficace, depuis quelques semaines les taux interbancaires (**) SOFR s’envolent et ont largement dépassé les taux pratiqués par la FED. Les volumes échangés à la journée dépassent les 3 trillions de dollars et ont été bien supérieurs à la réserve de cash au sein de la FED à disposition des banques (environ 2,8 trillions de dollars). Ces écarts de spread déclenchés par un manque de liquidité ont été motivé par différents types de facteurs :
– Systémique : Les crédits non sécurisés (Liés aux cartes de crédit, prêts étudiants, prêts véhicule…) support des ABS (amplifiés par les mécanismes BMPL/EWA) venu du shadow banking ont fait exploser les risques de défaut de remboursement à 30, 60 et 90 jours du fait de l’inflation galopante sous-jacente aux tarifs annoncés par D. Trump (défaillances EWA +12 %, ABS/MBS delinquency +20 % YoY). Les fonds d’investissement organisateurs de la titrisation font désormais face au mécanisme de rédemption. Devant les derniers scandales de fraudes, et faillites liées aux prêts frauduleux (Tricolor, First Brand…), les investisseurs de Private Equity demandent à sortir des fonds en mode panique, ainsi la demande de liquidité se fait plus que pressante.
– Structurel : les effets des tarifs douaniers imposés par l’administration Trump depuis avril 2025 se font de plus en plus sentir, déclenchant des déséquilibres profonds et persistants dans l’économie – comme une inflation ancrée, une fragmentation des chaînes d’approvisionnement mondiales, une perte de compétitivité (dû à l’explosion des coûts opérationnels) ou une réallocation sectorielle durable (ex. : déclin manufacturier ou tensions géopolitiques commerciales)… Les tarifs sont un accélérateur de crise de liquidité. L’administration argue d’un « rééquilibrage » (White House : Made in America), mais les modèles (CEPR, IMF) montrent un net coût fiscal et économique que les foyers et entreprises US ont subi de plein fouet (arrêt des ports, étagères vides, stockages prévisionnel, instabilité gelant les décisions long terme…).Si les représailles s’intensifient (ex. : UE/Brésil), cela pourrait basculer en récession globale d’ici 2026.
– Conjoncturel : dû au QT (~$95 milliards/mois drain) et à l’assèchement ON RRP, le bilan de la FED tend vers le zéro cash, elle ne ré-investi plus le remboursement du principal de dette associé aux bonds du trésor arrivés à maturité et de ce fait, les liquidités ne sont plus disponibles car détruites à réception (voir mécanisme de production/destruction monétaire).
La résolution du debt ceiling (plafond de la dette) en octobre 2025 (via une augmentation d’environ 5 trillions de dollars à 41,1 trillions de dollars, incluse dans le « Big Beautiful Bill ») a permis au Trésor de relancer les émissions de dette pour reconstituer ses réserves après les mesures extraordinaires invoquées depuis janvier 2025. Au 4ème trimestre 2025 (octobre-décembre), le Trésor prévoit d’emprunter environ 590 milliards nets au total (réduits vs. estimations antérieures grâce à la fin progressive du QT de la Fed en décembre), ce qui assèche d’autant les liquidités disponibles par les banques.
– Temporel : En fin de trimestre les taxes et autres règlements bancaires, couverture de margin call, arbitrage tombent… Les banques ont tendance à rendre le crédit difficile d’accès et donc le cash est moins disponible.
Conclusion Le symptôme le plus flagrant et visuel du besoin de liquidités agissant comme un vent contraire majeur pour les actifs risqués, s’est manifesté, par une chute brutale du BitCoin. Celui-ci a effectivement subi un plongeon de 23%. C’est un signe évident de besoin de cash immédiat pour les entités privées (Hedge funds, Investments Funds…) ou les petits porteurs, ce qui en plus provoque une panique en spirale (appel de marge, stress…). Les dernières chutes du DOW JONES (2100 Points) en 96h sont certainement les prémices de quelque chose de beaucoup plus grave à venir comme une convergence de différentes crises, celle de 1929 (tarifs), exacerbé d’une bulle technologique comme en 2001 (IA), d’un désastre financier par surendettement des foyers comme en 2008 (MBS/ABS) et d’endettement fédéral sur fond d’effondrement monétaire du dollar, de guerre économique avec la Chine, d’accès aux commodités mondiales et de tension géopolitique en Europe. Nous avons eu vent d’un meeting privé à huis clos entre la FED et les grandes banques, il en ressort que les mécanismes ON RRP ne sont pas assez utilisés pour donner accès au cash d’où la montée des taux SOFR rendant le crédit plus cher, les big shots de Wall Street sont terrorisés par les futures conséquences du cafard-zilla Shadow Banking. Si la FED n’ouvre pas les vannes du QE, cela finira par un bain de sang sur les marchés financiers, au détriment de l’inflation qui prendra des tournures inattendues en termes de dévaluation du dollar, le bain de sang prendra lieu dans Main Street. Les cafards de la dette deviennent aussi radioactifs que Tchernobyl alors que le Jean Reno de la FED est en vacances !
“La tempête parfaite” est aux portes de 2026 sans Georges Clooney et pourrait coûter les élections des midterms à D. Trump. Quid de l’impact sur le conflit entre la Russie et l’Ukraine, si les démocrates revenaient en force ? Ayant confronté directement certains de leurs conseillers en juillet dernier lors d’une conférence sur la résolution du conflit à l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni l’été dernier (en présence de la CIA), je peux désormais affirmer que quelque chose se prépare… Un seul moyen s’offre au général du trésor US Scott Bessent pour sauver le soldat D. Trump et sa gouvernance, faire en sorte que l’or soit réévalué de manière significative afin de supporter le dollar, qu’il abandonne son attitude d’éléphant dans le magasin de porcelaine, et participe activement à une coopération BRICS équitable en matant les petits excités de la gâchette en Europe. Tout un programme politique bien plus raisonnable qu’un conflit nucléaire, n’est ce pas ? La mère de (en 1 ou 2 mots?) toutes les crises frappe à la porte, pourvu que cela ne soit pas sur notre épargne, protégez vous, achetez de l’or !
Thierry Laurent Pellet de GlobalGeopol
(*) IORB : Interest Rate On Reserve Balance, taux d’intérêt payé par la FED sur les dépôts bancaires au sein de l’institution.
(**) SOFR: Secure Overnight Financial Rate, ce taux calculé sur la base du volume des échanges tripartite de pension et distribué par l’OFR. C’est le taux interbancaire remplaçant le LIBOR. Il est censé coller au taux directeur fixé par la FED.
(***) ON RRP: Reverse REPO Taux payé par la FED en remboursement de prêt sur une durée de 24h garanti par collatéral type “security” à des entités de type non bancaire. Sert essentiellement d’outils d’assèchement de bilan.






